La machine temporelle

Vous ne le savez peut-être pas, mais l’enseigne la plus présente en France, Escape Yourself, est originaire de Tours. Le complexe originel d’Indre-et-Loire nous a justement envoyé un appel de détresse : nous devons rejoindre de toute urgence l’une de leurs bases secrètes pour une mission de la plus haute importance. Allons-nous répondre présent ? Évidemment. Quelle question !

Le scénario

« Êtes-vous prêts pour une aventure extraordinaire? Si oui, alors rejoignez la base de recherche Escape Yourself et voyagez à travers le temps pour sauver l’univers en corrigeant les failles temporelles en formation ! »

3, 2, 1… décollage !

Notre expédition commence à l’extérieur de la station Escape Yourself. Nous nous tenons face à une grande porte baignée par une lumière bleutée. Dès les premières secondes, nous avons la confirmation que l’enseigne va jouer à fond la carte de la science-fiction.
Nous arrivons vite à pénétrer dans la base de recherches. Cet espace est très grand. Il est rempli de boutons et de câbles dans tous les sens. Des diodes éparpillées dans l’espace de jeu clignotent. Ceci éveille en nous des pulsions : nous voulons tout toucher, tout manipuler.

Cette description paraît peut-être banale vis-à-vis du thème sci-fi annoncé, et on pourrait s’attendre à une salle sans surprise. Mais heureusement, Escape Yourself est arrivé à nous surprendre en faisant entrer assez rapidement la mission dans une tout autre dimension. Ce revirement de situation apporte un côté original tant sur le plan du gameplay que sur celui du storytelling. Une belle surprise qui permet d’apporter de la diversité à l’expérience.

Sur le plan du jeu en lui-même, « La machine temporelle » est une salle de dernière génération où vous enchaînerez une succession de manipulations pour arriver à vos fins. Les énigmes sont bien intégrées dans l’histoire. Idéal pour nous faire oublier que nous sommes dans une salle d’escape game.

Un challenge à relever en équipe

Pour cette aventure, il faudra bien choisir ses équipiers. En effet, ce jeu d’Escape Yourself nécessite un grand travail d’équipe. Si vous avez des problèmes de communication avec les membres de votre team, si vous avez des difficultés à vous comprendre les uns les autres, cette salle risque de vous poser de gros soucis car ce voyage temporel explore toutes les formes de coordination : confiance, synchronisation, répartition des tâches, échange d’informations…

De ce constat découle une réflexion sur la taille optimale de l’équipe. Cette room pouvant accueillir entre 4 et 8 personnes, plusieurs configurations sont possibles :

• Vous avez l’habitude de faire des escape games et jouez toujours avec les mêmes personnes ? La communication doit surement bien passer entre les membres de votre équipe. Partir sur une team de 4 joueurs semble être le plus adapté, pour ne pas terminer trop rapidement cette aventure.
• Vous êtes novice dans le monde de l’escape game et quand vous êtes avec vos potes ça finit en chahut général ? Une équipe restreinte de 4 personnes semble également être le meilleur choix pour éviter toute cacophonie et perdre du temps. Mais attention, cette salle est assez dense. Il y a pas mal d’étapes à franchir donc il ne faudra pas chômer.
• Vous êtes novice dans le monde de l’escape game mais plutôt organisé ? Vous pourrez opter sans soucis pour une équipe de 6 à 8 personnes. Cette aventure permet une bonne répartition des tâches sans pour autant laisser des joueurs à part faute de choses à faire. Une équipe étoffée vous permettra de ne pas vous sentir trop pressés par le temps face à toutes les actions à réaliser.

Escape Yourself propose une aventure fun et intense qui vous fera courir dans tous les sens pendant 60 minutes. Une aventure où la cohésion d’équipe prend tout son sens. Même si le décor sci-fi est bien présent, on aurait adoré qu’il soit encore plus développé. En tout cas, « La machine temporelle » confirme le statut d’Escape Yourself comme créateur de jeu de qualité à Tours mais aussi dans toute la France.

Découvrez le teaser vidéo de la salle « La machine temporelle » :